► love's even more wild when you're angry.

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bring me to life

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NOM(S) ▷ Oakwood. PRENOM(S) ▷ Peter. AGE ▷ 27 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ▷ 01.01.84 à Bryan. TRAITS DE CARACTERE ▷ Fier. Hautain. Intelligent. Sportif. Égocentrique. Moqueur. Franc. Mature. Manipulateur. Séducteur. GROUPE ▷ poison & wine.

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they'll never know

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► Il a toujours vécut dans la ville de Bryan. ► Il n'est pas fier de toutes ses conquêtes, parce qu'il considère que toutes celles qui lui sont tombées dans les bras sont de parfaites idiotes. ► Il a très mal vécut le départ de sa mère, encore plus les maltraitances morales de son père. ► Personne ne sait le pourquoi du comment, il se comporte en vrai connard. ► Il est l'un des seuls avocats de la ville, presque tout le monde a donc obligation de le consulter. ► Cela ne le dérange pas de représenter des criminels tant qu'il est payé pour. ► Il préfère les brunes. ► Il prétend n'avoir aucune faiblesse. ► Il se moque de tout. ► Il n'est attaché à rien excepté sa décapotable. ► Il ne compte pas aller à l'enterrement de son père quand celui-ci sera mort. ► Il a déjà frappé un gars jusqu'à perte de conscience. ► Il trouve les filles croyant aux princes charmants, totalement pathétique. ► En fait, il trouve les trois quarts des gens, pathétiques.

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i'm in here

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PSEUDO ▷ evil trick. AVATAR ▷ Tom Welling. COMMENTAIRES ▷ Aime moi & vénère moi.

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nous sommes des assassins quand on en vient à l'amour et au bonheur.

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Je suis né de l'union d'un inspecteur de police et d'une juge de direction, d'une femme bien et d'un connard. Je ne sais pas pourquoi ma mère s'est un jour intéressé à cet être égoïste qu'est mon père. Mais un jour avant mes quatre ans, elle a du se rendre compte de mon erreur puisqu'elle a fait ses bagages, m'a embrassé sur le sommet du crâne et s'est enfuit en Australie avec un autre homme. Mon père ne s'en est jamais remis, non pas qu'il l'aimait vraiment - il était dépourvu de coeur - mais son ego sur-dimensionné a pris un coup fatal. Le pire dans tout cela c'est qu'elle m'avait laissé à lui, moi ce gosse qui ne lui servait à rien, juste à freiner ses petites magouilles et ses séances de baisage quotidienne. J'ai été élevé comme mon père avait élevé avant moi, comme si j'étais un moins que rien. Pas d'embrassade le soir, pas de conversation père/fils, juste un tape sur l'épaule devant les villageois pour prétendre que tout va bien dans le meilleur des mondes. J'ai détesté mon père, tellement qu'au fil des années, j'ai fini par devenir son exact reflet, un connard sans foi ni loi qui n'aspirait qu'à sa propre existence qui riait du malheur des autres. Oui mais tout çà, c'était avant que je la rencontre.

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours foutu tout en l'air, à chaque fois. C'est un moyen d'autodéfense je suppose, on ne peut pas m'aimer parce que j'ai choisi qu'on me déteste, on n'a jamais le temps de me quitter parce que je prends toujours les devants. Je me suis faite une réputation du pire connard de la ville et j'en étais fier. Avocat, j'avais l'argent et les femmes, puisque malgré ma réputation plus que douteuse, ses idiotes continuaient de me tomber dans les bras. Sauf une, Julia Fawkes. J'ai mis des mois à mettre mon nouveau joujou dans mon lit et quand enfin je l'ai fait, c'était pour mieux me rencontre que je ne l'avais pas 'baisé' comme j'avais fait avec toutes les précédentes mais que je lui avais bien fait l'amour. Moi, le gars sans coeur était finalement tombé amoureux de la gentille fille. Cela ne devait pas durer, je devais faire cesser cette histoire avant qu'elle ne se rende compte du con que j'étais et qu'elle me largue, laissant mon coeur brisé. J'ai repoussé encore et toujours le moment où je devrais me séparer d'elle, et puis finalement un soir alors qu'elle est passée à l'improviste chez moi, j'ai fait ce que je savais faire de mieux, être un connard. « Julia, je déteste que tu passes à l'improviste chez-moi. » Avais-je commencé. Elle avait sourit, ne comprenant pas la soudaineté de ce ton si sévère. « Pourquoi, tu as des choses à cacher? » M'avait-elle demandée malicieuse. Je n'avais plus rien dit pendant quelques secondes, je m'étais contenté d'admirer son visage rayonnant. Dans quelques secondes j'allais la briser, je me devais de repousser l'échéance encore quelques temps. « Oui quelques amantes régulières. A propos, c'est fini entre nous. » J'avais entraperçu un éclair passé dans ses yeux, ses yeux verts à présent brouillés de larmes. Un pincement au coeur se fit ressentir, mais je n'en pris pas compte. « Sors de chez-moi Julia, ne complique pas les choses. » Avais-je continué avant d'ouvrir la porte, l'invitant fortement à déguerpir. Une larme s'échappa de son oeil pour venir s'écraser sur sa joue. Elle était décidément trop fragile pour me fréquenter. « Tu avais toute ma confiance... » Je m'étais alors mis à soupirer bruyamment comme si soudainement tout ce qu'elle disait m’exaspérer. En vrai, j'avais envie de la serrer fort dans mes bras jusqu'à l’étouffement. Lorsque je lui fis un nouveau signe de main vers la porte, elle m’obéit et s'enfuit en courant de la demeure du diable. Mission accomplie, j'avais brisé son coeur autant que je venais de briser le mien.

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